Table des matières
- L’APUO cherche des représentant.es à deux comités de santé et sécurité au travail
- Protégeons nos institutions publiques
- Mémo du SCFP 2626
- Solidarité avec l’Ukraine
Devenez un.e représentant.e de l’APUO pour la santé et la sécurité
L’Université d’Ottawa compte plusieurs comités fonctionnels sur la santé et la sécurité (CFSST), en plus du Comité mixte universitaire sur la santé et la sécurité au travail (CMUSST).
L’APUO cherche présentement à combler deux postes de représentant.e sur ces comités :
- Comité fonctionnel sur la santé et la sécurité au bureau : un siège vacant
Ce comité a pour mandat d’examiner les laboratoires informatiques, bureaux, salles de classe, piscines, aires communes, cuisines, arénas, bibliothèques, auditoriums, et tout autre espace qui ne fait pas partie des mandats des autres comités.
- Comité fonctionnel sur la santé et sécurité au travail – Protection et immeubles : un siège vacant
Ce comité examine les espaces universitaires à l’extérieur des bâtiments (parcs de stationnement de surface et souterrains, routes, murs extérieurs, etc.), et les espaces utilisés par le personnel des Immeubles et du Service de la protection et auxquels le public n’a pas généralement accès (tunnel, locaux électriques et techniques, salles d’entretien, toits, quais de chargement, espaces clos, etc.).
Chaque comité se réunit une ou deux fois par session et les représentant.e.s bénéficient d’une formation en ligne pour les aider à accomplir leurs fonctions au sein des comités de santé et sécurité en vertu de la Loi sur la santé et la sécurité au travail.
Les membres peuvent visiter la page Web des comités de santé et de sécurité pour plus d’information.
Veuillez communiquer avec l’APUO en utilisant le courriel apuo@uottawa.ca pour soumettre votre candidature.
Protégeons nos institutions publiques
L’an dernier, l’Université Laurentienne a subi des coupes dévastatrices touchant plus de 60 programmes, dont 41 en français – en violation de la Loi sur les services en français (LSF) selon Kelly Burke, Commissaire aux services en français.
La suppression de ces programmes est le résultat de la décision de l’administration de l’Université Laurentienne de demander la protection des tribunaux en vertu de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies (LACC). En tant que première institution publique à faire appel à la LACC et à la Loi sur la faillite et l’insolvabilité (LFI), l’administration de la Laurentienne a créé un dangereux précédent, utilisant des lois écrites pour le secteur privé afin de dicter les opérations d’institutions publiques.
Pour empêcher qu’un tel détournement se reproduise, l’Union des associations de professeur.e.s des universités de l’Ontario (UAPUO) a lancé un outil d’action virtuelle par lequel les membres peuvent demander au gouvernement fédéral d’inclure une réforme de ces lois dans le prochain budget fédéral. Une telle réforme permettrait d’éviter que d’autres institutions publiques connaissent le même sort que l’Université Laurentienne.
Mémo du SCFP 2626 aux superviseur.e.s
Nos collègues du SCFP 2626 nous ont fait part d’un Mémo aux superviseur.e.s pour les membres de l’APUO qui supervisent des étudiant.e.s employé.e.s, représenté.e.s par le SCFP 2626.
Cette communication présente le processus d’évaluation des employé.e.s étudiant.e.s du SCFP 2626 et les responsabilités des superviseur.e.s lorsqu’elles/ils complètent ces évaluations.
N’hésitez pas à communiquer avec l’APUO si vous avez des questions.
Solidarité avec l’Ukraine
L’APUO se joint à l’Association canadienne des professeures et professeurs d’université (ACPPU) et à l’Internationale de l’éducation afin de condamner l’invasion russe de l’Ukraine et exprimer sa solidarité avec les Ukrainien.ne.s.
L’APUO a fait un don de 2 000 $ à l’Internationale de l’éducation, une Fédération syndicale mondiale qui réunit des organisations d’enseignant.e.s et d’autres employé.e.s du secteur de l’éducation. L’Internationale de l’éducation travaille de près avec les organisations ukrainiennes membres, soit le Syndicat des travailleurs de l’éducation et des sciences d’Ukraine (TUESWU) et le Syndicat libre de l’éducation et des sciences d’Ukraine (VPONU). Ensemble, ces organismes œuvrent à soutenir les étudiant.e.s, enseignant.e.s et autres travailleuses et travailleurs du secteur de l’éducation de l’Ukraine.